Je m’appelle Maxime et j’ai commencé à étudier le référencement il y a 3 ans dans ma chambre. Après avoir travaillé 2 ans à The Family, je suis maintenant le co-fondateur et le PDG de The Secret Company, un studio de start-up qui a notamment créé SEO Secret, un partenaire de création de contenu optimisé pour le référencement pour les entreprises ambitieuses.
Au cours de l’année dernière, j’ai construit et développé 3 places de marché dans le secteur de l’événementiel, toutes avec une stratégie d’acquisition liée à 95% à du référencement. Pendant cette période, je suis passé de 100 → 800 visiteurs uniques/jour, à 10 → 80 demandes de devis/jour, et j’ai généré plus de 500K€ de volume brut de marchandises.
Dans cet article, je voulais partager tout ce que j’ai appris dans ces différentes activités :
- Pourquoi travailler sur votre référencement peut être utile selon votre cas spécifique
- Les éléments essentiels pour tout site web
- Les actions plus avancées et les légendes urbaines
- Le référencement sémantique vs. technique
- L’importance d’un blog
- Les meilleurs outils, et quelques conseils secrets d’experts que j’ai eu la chance de rencontrer.
C’est parti !!
Le référencement est magique car c’est une sorte de prospection commerciale automatisée. Les leads et les opportunités viennent à vous. Mais attention ! Si vous êtes une startup, le référencement est un investissement à long terme. Les résultats apparaissent rarement avant 4 à 6 mois de travail, au mieux, donc vous devez être sûr que le référencement est la meilleure façon de passer votre temps (pour le moment).
Voici quelques situations où c’est probablement une bonne idée :
- Vous êtes une place de marché sur le web (StarOfService, SoBus…)
- Vous faites du commerce électronique (MADE.com, Shanty Biscuits…)
- Vous êtes un SaaS et vous voulez devenir le premier de la classe (HubSpot est probablement le cas le plus légendaire à ce jour. Ils ont inondé le marché de leur contenu sur presque tous les sujets B2B possibles. Et tout le monde connaît HubSpot, alors même qu’il s’agit d’une entreprise B2B. Zapier est un autre cas légendaire).
Les bases
Règle n° 1 : Play by the rules
Le référencement est aussi simple que de connaître les règles que Google utilise pour évaluer votre site web. Et vous avez de la chance, Google vous en dit une partie. Voici ce dont vous avez besoin pour prouver vos références à Google :
- Connectez votre site web à tous les services que Google propose : Google Analytics, Google Search Console, Google My Business, YouTube… Google ne les a pas créés pour vous faire plaisir. Il les a créés pour recueillir et analyser le plus d’informations possible sur vous.
- Respectez les principes de base du référencement d’une page. Les titres de vos pages doivent être “<H1>” et les sous titres “<H2>”. (Demandez à votre dev/CTO si vous ne comprenez pas ce que cela signifie).
Règle n°2 : Mobile friendly
Regardez autour de vous, les gens sont sur leur téléphone. Si vous n’avez pas de version mobile, allez en fabriquer une. Google commence déjà à démolir les sites qui n’en ont pas.
Règle n°3 : Achetez un certificat SSL (de http à https)
De plus en plus de navigateurs comme Google Chrome bloquent les sites en http, qu’ils considèrent comme dangereux. Vous devez donc disposer d’un certificat SSL, sinon vous constaterez rapidement que vous n’êtes pas référencé dans Google.
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Règle n°4 : La vitesse de chargement des pages est la base
Récemment, Google a commencé à mettre BEAUCOUP plus l’accent sur la vitesse de chargement des pages. Plus encore qu’un code “propre” et de bons serveurs, vous pouvez commencer par compresser les images de chaque page, en utilisant notamment des outils comme Recompressor, TinyPNG ou TinyJPG.
Règle n°5 : Connaître le classement de Google sur l’importance des critères d’évaluation d’une page
- Les Title Google ou <title> (ce qui sera affiché lors de la présentation d’une URL dans Google) : Faites-en sorte que ce soit différent du H1 ! 65-80 caractères de préférence (pour une visibilité sur le mobile). Gardez à l’esprit que le premier mot aura plus de poids que le second, et le second que le troisième, etc. Évitez également les « | » dans les titres, utilisez plutôt des tirets. Enfin, une certaine école de référencement prétend que les articles (ex : « le ») ne sont plus pris en compte par Google. Personnellement, je n’y crois pas, car j’ai vécu le contraire. Par sécurité, gardez les articles (le/la/les…) dans le H1 de votre page, et supprimez-les pour le titre Google.
- H1 : différencier de la Meta Google Title ! Ne dépassez pas 80 caractères si possible.
- URL : Idéalement, 3-4 mots. Supprimez les articles. Pensez vraiment au raccourci que l’utilisateur utilisera pour faire une recherche dans Google (ex : « wedding planning tips » ➡ yourstartupwebsite.com/wedding-planning-tips). Là encore, le premier mot aura plus de poids que le second, le second plus que le troisième, etc.
- Meta description (ce qui sera affiché pour décrire une URL dans Google) : De préférence, 80-120 caractères. ATTENTION : Une certaine école du référencement dit que ce critère n’affecte pas le classement d’une page mais plutôt le taux de clic, car c’est le texte commercial qui donne envie à l’utilisateur de cliquer ou non. Je note cependant que lors d’une recherche, Google met en évidence les mots-clés que vous avez saisis dans la méta description de chaque URL qui apparaît dans les résultats de la recherche. Mon conseil : Rédigez une meta description en utilisant des synonymes des termes utilisés dans la Meta Title Google.
- H2 : De préférence, 70-80 caractères. Allez plus loin que la H1 (ex : si la H1 est « Alimentation pour chiens : aliments secs, friandises… », une des H2 peut être « Aliments secs et friandises pour chiens fabriqués en France ». Sinon, comme les gens recherchent de plus en plus sous forme de « question », notamment via la recherche vocale (Siri, Alexa, Google Home…), vous pouvez aussi essayer quelque chose comme : « Combien de friandises par jour puis-je donner à mon chien ? »
- Note : Il a été prouvé que la balise Meta Keywords n’a aucun impact sur le référencement, il est donc inutile de l’indiquer.
Règle n°6 : Rédiger le contenu en mode SEO
Essayez de faire en sorte que chaque page contienne plus de 800 mots – sur Tribes, vous noterez que tous les articles on entre 1500 et 3000 mots par exemple (cf. guidelines de contribution de Tribes). Au-delà, ne vous creusez pas la tête : rédigez un contenu de qualité et abordez un maximum de sujets en rapport avec votre grand sujet/industrie. Essayez de ne pas marteler les mots-clés, Google punit cela. Utilisez autant de synonymes que possible. Il existe également une astuce pour que Google identifie vos pages professionnelles comme des articles de blog, ce qui est bien mieux à ses yeux : Évitez le vocabulaire commercial (ex : “demande de devis”). Utilisez plutôt des termes comme “conseil”, “bonne idée”, etc., car Google préfère que vous conseilliez les internautes plutôt que de leur vendre quelque chose 😉. Pour Google, les ventes se font par le biais de Google Ads, et le partage d’informations précieuses par le biais de la recherche libre (SEO). C’est logique.
Règle n°7 : Il n’y a pas de secret : Créez un contenu incroyable
Lorsque je parle avec des entrepreneurs, ils me demandent toujours “Comment choisir les bons mots clés ? Je veux mettre beaucoup de mots-clés ! Mais tout ce qu’il y a à dire, c’est “Produire du bon contenu”. Un contenu que vous aimeriez lire vous-même. Les gens vont adorer le consommer, et Google va voir que les gens passent du temps sur votre site, avec l’aide de Google Analytics (voir règle n°1 😉)
Cependant, il existe des outils qui vous permettront de visualiser facilement le poids des mots-clés sur chaque page (Chrome / Mozilla).
Règle n°8 : Prise en compte de la ligne de flottaison
Google est vraiment attentif au comportement des utilisateurs sur les pages. Et les gens font rarement défiler les pages, c’est juste un fait. Donc une très bonne façon de monter dans le classement Google est de placer un maximum de contenu de qualité (votre H1, un texte descriptif, une image et votre H2) au-dessus de la ligne de flottaison. Ce ne sera pas forcément très beau, mais cela fonctionne très bien. C’est pourquoi tant de modèles WordPress sont incompatibles avec le référencement : il y a trop d’espacement entre les différents contenus.
Règle n°9 : le référencement “local” est important
Vous devez disposer d’un compte Google My Business pour être référencé dans les résultats de recherche géolocalisée. Vous devez avoir le plus grand nombre possible de clients qui vous notent 5/5 ⭐️ et qui donnent de bonnes critiques/avis.
Règle n°10 : Ne pas dupliquer ou copier un contenu
Veillez à ce que chaque page ait un contenu différent pour tous ces éléments : Titre Google, Meta description, H1/H2, contenu de la page. Et surtout, ne volez jamais le contenu d’un autre site. Google date à chaque fois qu’un nouveau contenu apparaît.
Créer un blog
Pratique courante, mais toujours la meilleure stratégie de référencement pour les start-ups.
Presque toutes les startups ont un problème avec le référencement. Lorsqu’elles construisent leur site web, elles doivent d’abord se concentrer sur leur proposition de valeur, leur UX/UI, leur butin et leur argumentaire de vente pour convaincre leur cible. Et la plupart du temps, ces éléments ne correspondent pas au référencement. Ou du moins, pas avec un référencement qui tue.
Pourquoi ? Pour ne donner qu’un exemple, une bonne pratique de référencement consiste à s’assurer que toutes vos pages sont accessibles en un minimum de clics, depuis toutes les pages de votre site. Cela ne correspond pas toujours à un bon UI/UX. (Remarque : les startups du e-commerce ont moins de problèmes que les autres avec cela car elles peuvent classer leurs pages dans des catégories/sous-catégories avec des menus déroulants). Dans ces conditions, je conseille de se concentrer sur la production de contenu, intensément si possible, sur une courte période de temps.
Je dois vous avertir : les sujets des blogs vous sembleront vraiment ennuyeux. C’est normal. Vous écrivez pour Google, pas vraiment pour apporter beaucoup de valeur aux utilisateurs. (Mais ne vous inquiétez pas, ils ne regardent que les photos 😉)
Exemple : si vous offrez un service dans le domaine du mariage, un bon article pourrait être : “Organisation de mariage” : 5 choses dont vous DEVEZ vous souvenir pour le grand jour !”
Une des meilleures pratiques en termes de SEO blogging est d’utiliser la technique des “Tops” (ex : “Top accessoires pour chiots : jouets, croquettes, friandises…”)
Plus qu’un clickbait, les utilisateurs cliquent souvent sur ce genre d’URL après une recherche parce qu’ils sont convaincus qu’un humain de votre organisation a trouvé et classé les meilleures solutions à leur problème. Les gens passent également plus de temps sur ce type de pages parce que l’information est organisée.
Quant au rythme de la rédaction, si vous créez une start-up, il y a de fortes chances que vous ayez mieux à faire que d’écrire du contenu toute la journée. Voici donc la méthode :
- Trouver une plateforme de rédacteurs indépendants (SEOsecret.co…)
- Sélectionnez 3 à 5 rédacteurs web, et assurez-vous qu’ils sont spécialisés dans l’écriture SEO ! Rédaction d’articles de blog pour influencer ≠ Rédaction d’articles de blog pour le référencement.
- Demandez-leur d’écrire le même article de blog
- Lorsque vous recevez leurs travaux, lisez-les tous et ne publiez que le meilleur
- Continuez à travailler avec ce freelance
Note : si vous avez déjà un blog Medium, conservez-le pour écrire des contenus d’influence. Pour les contenus ciblés par le référencement, créez un blog dédié comme yourstartupwebsite.com/blog ou blog.yourstartupwebsite.com. Les billets de blog Medium sont mal référencés par Google.
Le référencement technique
De nombreux critères de Google pour évaluer votre site et ses pages sont des critères techniques. Cela signifie que pour améliorer votre site, vous devez entrer dans le code source de votre site, examiner les performances de votre serveur, etc…
Règle n°1 : Noms de domaine et redirection 301
Premièrement, contrairement à ce qu’on croit, la signification de votre nom de domaine a très peu d’impact sur le référencement. Le seul avantage à posséder un nom de domaine générique (par exemple “vtc-paris.fr”) est que le titre de votre page d’accueil sur Google pourrait être “VTC Paris : les meilleurs conducteurs à la demande à Paris”. Et n’oubliez pas que le premier mot aura plus d’impact aux yeux de Google que le second, et le second qu’un troisième. De plus, avoir un nom court est une bonne chose, car ce sont les 65 premiers caractères d’un Google Title qui sont le plus pris en compte.
Mais une fois que vous avez un nom de domaine comme “vtc-paris.fr”, vous devriez acheter ses variantes : sans le tiret, .com, au singulier, au pluriel… Cela vous permettra d’entraver la concurrence potentielle et montrera également à Google que vous investissez dans une meilleure expérience pour les utilisateurs qui tapent une mauvaise URL (en incluant ou non le tiret, par exemple).
Si vous avez plus d’un nom de domaine, choisissez un nom de domaine principal et faites des redirections supplémentaires vers le site principal à l’aide du domaine 301.
Notez également que l’ancienneté d’un nom de domaine est un critère important pour Google. En effet, lorsque Google indexe votre nom de domaine dans son moteur de recherche, il atteste que ce site est en ligne et qu’il a un contenu (intéressant). Montrer à Google que votre site est en ligne depuis de nombreuses années revient à se forger une bonne réputation dans votre secteur : les gens vous font confiance et se sentent mieux lorsqu’ils vous recommandent.
Règle n°2 : Effectuez régulièrement des scans sitemap.xml de votre site via votre console de recherche Google
Un sitemap est un fichier dans lequel vous pouvez lister les pages web de votre site afin de fournir aux moteurs de recherche des informations sur la structure du contenu de votre site. Les crawlers des moteurs de recherche comme Googlebot lisent ce fichier pour mieux explorer votre site.
Il peut être judicieux de mettre en évidence vos différentes images et créer un plan de site spécifique pour celles-ci en utilisant les balises d’image suivantes :
<url> : la balise qui inclut toutes les informations sur une seule URL
<loc> : l’URL où se trouve l’image (html)
<image : image> : la balise qui comprend toutes les informations sur une image
<image : loc> : l’URL de l’image. Notez que cela peut provenir d’un autre champ.
<image : caption> : légende de l’image. Utilisez des termes optimisés pour le référencement.
<image : geo_location> : l’endroit où l’image a été prise (pas toujours pertinent)
<image : title> : l’attribut title de l’image
<image : licence> : URL qui renvoie à la licence de l’image
Règle n°3 : la profondeur des pages de votre site est primordiale
La profondeur des pages d’un site détermine la facilité avec laquelle le moteur y accède depuis la page d’accueil. Les pages stratégiques doivent être accessibles en un nombre minimum d’étapes. Au-delà du 3ème niveau d’accessibilité (clics), la page est considérée comme difficile d’accès.
Règle n°4 : Personnalisez vos pages d’erreur 404
L’optimisation de la page d’erreur 404 est essentielle car elle peut être l’occasion de rediriger les utilisateurs vers des pages stratégiques. Son optimisation peut également contribuer à améliorer l’exploration du site (par des liens vers les principales catégories) et à maintenir l’utilisateur sur votre site.
Règle n°5 : Checkez votre temps de chargement
Utilisez cet outil Google pour analyser votre site.
Et méfiez-vous d’un design réactif qui doit être optimisé pour ne pas charger tout le site du bureau sur un appareil mobile.
Règle n°6 : Optimisez vos image
Utilisez cet outil pour les JPG, celui-ci pour les PNG, et celui-ci pour les PDF.
Règle n°7 : Javascript, c’est comme courir en portant un canapé
Lorsqu’un navigateur web rencontre un code Javascript en interprétant le code source d’une page web, il peut considérablement ralentir l’affichage de la page, surtout si le téléchargement d’un script externe est nécessaire. Évitez autant que possible l’utilisation de Javascript pour assurer un affichage rapide de la page.
Comment ? Si possible, utilisez l’une des techniques suivantes pour faire appel à des fichiers externes :
- Utiliser l’attribut async
- Utiliser l’attribut defer
- Ajouter le script dans le DOM en Javascript pendant l’événement onload
Placez les scripts à la fin de votre code source (idéalement à la fin du “<corps>”)
Règle n°8 : Utilisez l’attribut hreflang pour indiquer à Google la langue de votre site 🌍
Règle n°9 : Veillez à ce que chaque élément CSS utilise son propre identifiant
L’utilisation du même identifiant pour deux éléments CSS différents peut entraîner des effets de bord, en particulier lors de l’exécution de Javascript ou de l’application de règles CSS.
Que faut-il faire ? Assurez-vous que rien sur la page n’a le même identifiant. Si vous souhaitez partager des propriétés/comportements entre plusieurs éléments, vous devrez utiliser la classe d’attributs :
<P> <span class = « mySpans »> </ span> <span class = « mySpans »> </ span> </ p>
Règle n°10 : Indiquez vos microdonnées
Pour la visibilité, vous devez indiquer vos microdonnées, elles sont essentielles pour le référencement : https://schema.org/
Elles aideront Google à identifier votre organisation et votre entreprise et vous permettront d’obtenir des « rich snippets » dans les résultats de Google.
En général, les microdonnées sont utiles pour classer votre activité en fonction de la bonne volonté de Google, favorisant ainsi votre visibilité dans les SERP.
Vous pouvez utiliser cet outil pour analyser votre utilisation des microdonnées sur votre site.
Le balisage de schema.org est facile à mettre en place. Un outil existe dans la console de recherche, mais rien n’est plus fort que le code, d’autant plus qu’il est très simple à mettre en place.
Les secrets des experts
Je suis à la recherche de nouveaux mots-clés et termes intéressants. Comment puis-je les trouver et comment les évaluer ?
- Google.com: le nombre de résultats sur un mot-clé ou un terme n’est pas essentiel, mais il peut être intéressant. L’important est d’être en première page.
- Google Ads: le nombre d’annonces SEA (classement payant) est un bon indicateur de popularité, tout comme le CPC. Si un mot-clé/terme est cher, il a du potentiel. Le volume de recherche est peut-être le plus important. Si le mot n’est pas recherché dans Google, vous n’avez pas besoin de travailler dessus.
- Google Trends: Les tendances sont intéressantes, mais ce n’est pas le facteur n°1.
- AnswerThePublic and Ubersuggest 💖
Si vous recherchez les meilleurs outils tout-en-un pour travailler sur votre référencement (trouver de nouveaux mots-clés, suivre votre classement et celui de vos concurrents, analyser votre site régulièrement…) : Moz, SEM Rush, Ahrefs and Botify (startup FR 🚀)
N’oubliez pas d’ajouter vos liens de médias sociaux sur votre site, par exemple dans votre pied de page : Google+, YouTube, Twitter, Facebook, LinkedIn… Ils sont importants aux yeux de Google, c’est comme une preuve sociale dans la vie réelle.
Le Saint Graal du SEO : Rang 0
Le rang 0, également connu sous le nom de “featured snippet”, est le résultat élargi apparaissant au-dessus du résultat de classement n°1 sur la page de résultats de Google. Les résultats de rang 0 répondent généralement à des questions sur un terme de recherche, sans avoir à cliquer sur une URL. Pour Google, il s’agit du meilleur contenu pour répondre à une question donnée ou pour définir un sujet.
Pour l’atteindre, utilisez des paragraphes de 40 à 50 mots ou des synthèses équivalentes pouvant être utilisées telles quelles par Google.
Vous pouvez également :
- Faire des listes (balisage non ordonné de la liste”)
- Faire des tableaux en html simple ()
- Utilisez des microdonnées pour marquer vos données (voir ci-dessus)
- Répondez aux questions dont les réponses ne sont pas déjà données dans Google. Pour atteindre le rang 0, vous devez rechercher les questions auxquelles Google ne peut pas répondre avec le “Knowledge Graph” et des questions : plus de 60 % des recherches avec “pourquoi”, “comment” et “où” donnent un résultat de Rang 0.
Enfin, vous lirez partout que le critère n°1 aux yeux de Google est le nombre de liens pointés vers votre site web et leur qualité (bakclinks). Ce n’est pas faux, mais ne payez jamais pour un service qui promet d’augmenter votre nombre de liens retour. Google identifiera comme suspect l’arrivée soudaine de backlinks. Faites-le plutôt manuellement et travaillez vos relations publiques. Les sites de médias sont considérés comme de haute qualité par Google. Il est préférable d’avoir 3 backlinks de qualité plutôt que 50 où certains seront jugés de qualité moyenne/mauvaise. Et privilégiez les sites dont le thème correspond à votre marché/industrie. L’impact de ces backlinks sera multiplié.
⚠️ Avertissement ⚠️
Les règles d’optimisation des moteurs de recherche changent d’année en année (mais pas tant que ça, en fait). Ce n’est pas non plus une science exacte, mais les idées dont je parle ci-dessus sont des choses auxquelles je crois fermement et que j’ai testées avec succès. N’hésitez pas à en débattre dans les commentaires.
PS : N’oubliez pas que même si le référencement Google est à la mode ces jours-ci, ce n’est pas la seule (et pas toujours la meilleure) façon de générer de la croissance pour votre entreprise. La vidéo est une autre tendance en plein essor. Le référencement de YouTube peut être une bonne alternative, et il a ses propres règles, tout comme les vidéos virales sur Facebook/Instagram. En bref, restez ouvert et pensez toujours “efficacité” avant de vous lancer dans ce qui est une bataille à long terme.
PPS : Si vous souhaitez des conseils personnalisés, envoyez-moi un courriel à blondy@seosecret.co